Le printemps arrive après un hiver rigoureux. C'est peut-être maintenant que commence véritablement 2009. L'année est placée sous le signe de l'austérité économique. Espérons qu'une véritable prise de conscience va s'effectuer.
Les États, décérébrés, multiplient les aides aux grandes entreprises en difficultés. Ce n'est pas sérieux de vouloir relancer l'économie à coup de milliards sortis d'on ne sait où, donnés à quelques-uns sans réel contrôle de l'utilisation qui va être faite de ses ressources.
Le Medef rappelle à qui veut l'entendre que la survie de l'économie passe par des plans de réorganisation, un coût du travail moins élevé. Il ne rechigne cependant pas devant les milliards qu'on lui tend. Même si cela va à l'encontre de ses idées. Plus personne ne réfléchit et les moutons moutonnent.
A une crise d'envergure globale, il faut évidemment une réponse d'envergure globale. On ne sait pas encore faire. Le schéma économique de l'après-guerre est presque mort. L'agonie est proche. Tant mieux.
Les États, décérébrés, multiplient les aides aux grandes entreprises en difficultés. Ce n'est pas sérieux de vouloir relancer l'économie à coup de milliards sortis d'on ne sait où, donnés à quelques-uns sans réel contrôle de l'utilisation qui va être faite de ses ressources.
Le Medef rappelle à qui veut l'entendre que la survie de l'économie passe par des plans de réorganisation, un coût du travail moins élevé. Il ne rechigne cependant pas devant les milliards qu'on lui tend. Même si cela va à l'encontre de ses idées. Plus personne ne réfléchit et les moutons moutonnent.
A une crise d'envergure globale, il faut évidemment une réponse d'envergure globale. On ne sait pas encore faire. Le schéma économique de l'après-guerre est presque mort. L'agonie est proche. Tant mieux.
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on dimanche 1 mars 2009
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