Le mois de septembre a été coupé en deux par un voyage au Canada !
Nous l'attendions depuis longtemps. Au point que j'ai eu un peu de mal à réaliser que j'étais en Amérique au début. Comment diable partir deux semaines sans qu'une inondation ou un incendie viennent ruiner mon appartement ? Comment la vie parisienne, éternelle, pouvait continuer sans nous ?
L'enregistrement des bagages n'a pas été long à l'aller. Nous avons eu beaucoup de chance. Le passage au frontière est toujours un moment désagréable à passer. Enlever ceci ou cela des poches, montrer patte blanche, les procédures de contrôle sont trop lourdes... Le passager est pris pour une vache qu'on amène à l'abattoir.
L'embarquement dans l'avion annonce, lui, le début des vacances. Avec un décalage de 6heures, le Canada nous fait gagner un peu de temps de vie. C'est plutôt agréable même si on reperd au retour ce qu'on a gagné à l'aller !
Nous avons été un peu surpris d'être assis dans l'allée centrale de l'avion (et donc à l'écart des hublots). Il semble d'ailleurs que l'avion n'est plus ce qu'il était. Je crois qu'à un époque, ce mode de transport permettait de voyager dans un certain luxe, ce qui n'est plus vraiment le cas aujourd'hui.
Qu'importe, le voyage s'est parfaitement bien passé et c'est un temps très beau qui nous attendait à Montréal. S. et C. nous ont accueilli à l'aéroport. J. m'avait depuis longtemps averti de l'accent incompréhensible de C. Qu'importe, le petit couple qui avait accepté de nous accueillir quelques nuits était extrêmement accueillant et bienveillant.
Ma première traversée en voiture de Montréal ne m'a pas laissé d'émotions remarquable. Je découvrais une ville à l'architecture déliée, faite de grands buildings, de zones industrielles et surtout d'immenses et plates banlieues. Nous n'avons sans doute pas pris un chemin très touristiques pour rejoindre la maison de C. et S..
Nous avons déposé nos affaire chez C. et S.. Ce moment de détente fut agréable car nous avons pu dîner sur le pouce au bord de la piscine. Comme c'est un couple qui a du goût, les produits étaient souvent français (!). Leur jardin, ou plutôt leur cours intérieur, m'a intrigué et fait sourire. Je pense que si nous avions piqué une tête dans la piscine, une bonne dizaine de personnes aurait pu nous épier tant elle était à découverte au milieu des maisons. Ici, pas de haie, pas de haute palissade. Une vue imprenable sur les innombrables fenêtres des maisons environnantes !
Nous décidâmes ensuite de sortir dans Montréal avec J.. Malgré la fatigue, cette sortie occupe une place à part dans mon esprit. Montréal ne semble pas s'apprivoiser facilement et encore moins la nuit. Après quelques stations dans un métro propre mais vieillot, J. me fit découvrir avec plaisir quelques coins réputées de la ville.
Nous marchâmes longtemps comme nous aimions tant le faire. Le centre-ville constitué de buildings me fit penser à la Défense. Ce soir-là, je découvris surtout la rue Sainte Catherine et la rue Crescent qui accueille la jeunesse montréalaise. Leurs charmants petits immeubles ne sont pas du tout caractéristique de la grande ville.
Les vacances commençaient. Il n'y avait plus qu'à attendre que les innombrables émotions nous envahissent.
Nous sommes rentré vers 23 heures chez C. et S. qui dormaient déjà, et avec la porte ouverte ! Leur appartement manquaient certainement d'intimité en de nombreux points mais nous avions un lit confortable. Nous avons dû nous endormir en sept seconde montre en main !
Nous l'attendions depuis longtemps. Au point que j'ai eu un peu de mal à réaliser que j'étais en Amérique au début. Comment diable partir deux semaines sans qu'une inondation ou un incendie viennent ruiner mon appartement ? Comment la vie parisienne, éternelle, pouvait continuer sans nous ?
L'enregistrement des bagages n'a pas été long à l'aller. Nous avons eu beaucoup de chance. Le passage au frontière est toujours un moment désagréable à passer. Enlever ceci ou cela des poches, montrer patte blanche, les procédures de contrôle sont trop lourdes... Le passager est pris pour une vache qu'on amène à l'abattoir.
L'embarquement dans l'avion annonce, lui, le début des vacances. Avec un décalage de 6heures, le Canada nous fait gagner un peu de temps de vie. C'est plutôt agréable même si on reperd au retour ce qu'on a gagné à l'aller !
Nous avons été un peu surpris d'être assis dans l'allée centrale de l'avion (et donc à l'écart des hublots). Il semble d'ailleurs que l'avion n'est plus ce qu'il était. Je crois qu'à un époque, ce mode de transport permettait de voyager dans un certain luxe, ce qui n'est plus vraiment le cas aujourd'hui.
Qu'importe, le voyage s'est parfaitement bien passé et c'est un temps très beau qui nous attendait à Montréal. S. et C. nous ont accueilli à l'aéroport. J. m'avait depuis longtemps averti de l'accent incompréhensible de C. Qu'importe, le petit couple qui avait accepté de nous accueillir quelques nuits était extrêmement accueillant et bienveillant.
Ma première traversée en voiture de Montréal ne m'a pas laissé d'émotions remarquable. Je découvrais une ville à l'architecture déliée, faite de grands buildings, de zones industrielles et surtout d'immenses et plates banlieues. Nous n'avons sans doute pas pris un chemin très touristiques pour rejoindre la maison de C. et S..
Nous avons déposé nos affaire chez C. et S.. Ce moment de détente fut agréable car nous avons pu dîner sur le pouce au bord de la piscine. Comme c'est un couple qui a du goût, les produits étaient souvent français (!). Leur jardin, ou plutôt leur cours intérieur, m'a intrigué et fait sourire. Je pense que si nous avions piqué une tête dans la piscine, une bonne dizaine de personnes aurait pu nous épier tant elle était à découverte au milieu des maisons. Ici, pas de haie, pas de haute palissade. Une vue imprenable sur les innombrables fenêtres des maisons environnantes !
Nous décidâmes ensuite de sortir dans Montréal avec J.. Malgré la fatigue, cette sortie occupe une place à part dans mon esprit. Montréal ne semble pas s'apprivoiser facilement et encore moins la nuit. Après quelques stations dans un métro propre mais vieillot, J. me fit découvrir avec plaisir quelques coins réputées de la ville.
Nous marchâmes longtemps comme nous aimions tant le faire. Le centre-ville constitué de buildings me fit penser à la Défense. Ce soir-là, je découvris surtout la rue Sainte Catherine et la rue Crescent qui accueille la jeunesse montréalaise. Leurs charmants petits immeubles ne sont pas du tout caractéristique de la grande ville.
Les vacances commençaient. Il n'y avait plus qu'à attendre que les innombrables émotions nous envahissent.
Nous sommes rentré vers 23 heures chez C. et S. qui dormaient déjà, et avec la porte ouverte ! Leur appartement manquaient certainement d'intimité en de nombreux points mais nous avions un lit confortable. Nous avons dû nous endormir en sept seconde montre en main !